A la genèse du projet, la volonté de Stephan Henry est de remplacer plusieurs chaudières au mazout (consommation totale : 32.000 litres/an) et diminuer ses factures énergétiques. Le choix du miscanthus autoproduit comme une solution pour la valorisation énergétique de ses terres en bordure de ruisseau et moins facilement cultivables s'est opéré.
Pour Stephan Henry, il s'agissait en outre d'un investissement rentable sur le très court terme: « Le miscanthus est facile à planter et à récolter. Son rôle de zone tampon est également intéressant et il permet de limiter les coulées de boue grâce à sa hauteur, »