Le secteur résidentiel est analysé dans le bilan énergétique "domestique" qui est une appellation générique largement utilisée au niveau international pour désigner un ensemble de secteurs constitué du résidentiel, du tertiaire mais aussi de l'agriculture.
Une consommation résidentielle très influencée par le climat
Lorsque la toiture ou le plancher du grenier ne sont pas isolés, ils laissent échapper de la chaleur, l'étage supérieur se refroidit et cela entraîne une consommation d'énergie totalement inutile. Sur 200 logements récents isolés thermiquement, 11% (appartements) à 18% (maisons individuelles) des pertes de chaleur se font par les plafonds et toitures.
Que sont les déstratificateurs d'air et à quoi servent-ils ?
Les fenêtres et portes donnant sur l'extérieur doivent impérativement être associées à l'isolation thermique. 31 % (maisons individuelles) à 41% (appartements) des déperditions thermiques de l'enveloppe d'une habitation se font par les fenêtres et les portes extérieures.
La pompe à chaleur (PAC) est une technologie qui permet de puiser des calories dans le milieu ambiant (l'eau, l'air, le sol, ...), même si ce milieu peut nous paraître froid, pour les restituer sous forme de chaleur pour le chauffage des locaux ou de l'eau sanitaire.
Ce sont des zones où le froid de l'extérieur est rapidement mis en contact avec l'air intérieur. Cela conduit souvent à l'apparition de condensation et de moisissures.
On l'oublie souvent, les sols doivent eux aussi être isolés. Cela participe au confort de l'habitation. Notamment pour ne pas avoir froid aux pieds. Ces pertes de chaleur s'estiment à 17% (appartements) à 21% (maisons individuelles).
L'entreprise sidérurgique NLMK Clabecq a investi dans 2 fours de réchauffage de brames couplés à un modèle thermique et à une gestion automatisée qui lui ont permis :- Un cycle de chauffe maîtrisé pour de meilleurs produits en final- Une réduction de 15% des consommations de gaz
Depuis le 5 juin 2014, une analyse coûts-avantages sur la pertinence ou non d'installer une cogénération pour les nouvelles installations d'une puissance thermique totale de plus de 20 MW et les rénovations substantielles portant sur de telles installations doit être réalisée au stade de leur planification. Elle est à joindre au permis d'environnement.
Depuis le 5 juin 2014, une analyse coûts-avantages sur la pertinence ou non d'installer une cogénération pour les nouvelles installations d'une puissance thermique totale de plus de 20 MW et les rénovations substantielles portant sur de telles installations doit être réalisée au stade de leur planification.