Le secteur tertiaire est chez nous celui dont la consommation finale a le plus augmenté ces quinze dernières années. C'est aussi celui où le potentiel d'économies d'énergie est proportionnellement le plus important.
Le secteur résidentiel est analysé dans le bilan énergétique "domestique" qui est une appellation générique largement utilisée au niveau international pour désigner un ensemble de secteurs constitué du résidentiel, du tertiaire mais aussi de l'agriculture.
Près de 41 % de la demande totale d'énergie en Europe est imputable à nos bâtiments (résidentiels et tertiaires). Chauffage des locaux, production d'eau chaude, éclairage, climatisation, sont les principaux vecteurs de (sur)consommation énergétique et d'émissions de gaz à effet de serre. Or nous avons les moyens d'être largement plus performants.